Leigh Bardugo a écrit dans un tweet “The Zero Draft is a mess, somewhere between an outline and a first draft, full of placeholders, false starts, questions.” : “Le jet 0 est un brouillon, quelque part entre une esquisse et une première ébauche, plein de balises, de faux départs, de questions.” Et ça m’a fait repensé au jet 0 que j’avais écrit pour le tome 1 d’ABSOLU et qui m’avait pris deux ans. Mais si finalement, ce n’était pas une si mauvaise idée que ça ? Et si écrire un jet zéro, un brouillon de son scénario, était la meilleure méthode pour écrire et terminer un roman ?